Soledad SIMON

 

Née en  1943 à  Paris.  S’éloignant de la sphère du spectacle, Soledad Simon s’inscrit au début des années 70 à l’Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en UER de philosophie et suit parallèlement un cursus de biologie. Elle assiste aux cours magistraux de Robert Misrahi qu’elle sollicitera pour diriger sa thèse Le Travail de la mauvaise foi et la conscience philosophique. En 1984, elle devient l’assistante de Robert Misrahi. Par ailleurs, elle intègre statutairement le secteur de l’enseignement.

En 2000, elle s’installe pendant une dizaine d’années en Polynésie française où elle crée une structure scolaire alternative.

De retour en France, elle présente une communication au Colloque de Cerisy (2012) consacré à Robert Misrahi (Le corps-sujet et les neurosciences : le regard du philosophe) et publie dans la revue Peut-être des poèmes dédiés au peuple maohi et à son Fenua, la Polynésie.

 

Participation à la revue

  • N° 36, dossier Robert Misrahi : Portrait de Robert Misrahi, philosophe du bonheur